Issu d’une famille nomade du Burkina Faso, Zaky apprend la musique dès l’enfance en suivant son père, le griot Sidiki Diarra, maître de tama (tambour de parole) et son oncle Bakari Kone au fil des grandes cérémonies dans les villages.
Zaky chante en bambara et en français et fait résonner le n’goni (harpe luth), son instrument de prédilection, dans des compositions marquées de sa touche qu’il nomme «le bruit des arbres et des oiseaux».
Les textes qu’il chante de sa voix envoûtante abordent l’amour universel, l’écologie, l’immigration ou l’indépendance économique de l’Afrique.